SLIDE_publications

_

 

Restructuration d’un immeuble de bureaux en résidence étudiants et chercheurs à Créteil

Créteil / Site– 30 septembre 2013

www.ville-creteil.fr/une-residence-pour-etudiants-et-chercheurs

 

 

Ecole Albert Calmette au Blanc-Mesnil
Blanc-Mesnil / Le Journal n°173 – 7 septembre 2012

www.blancmesnil.fr

 

 

Ecole Albert Calmette au Blanc-Mesnil

Seine-Saint-Denis matin – le Parisien – 5 septembre 2012

www.leparisien.fr

 

 

Médiathèque Guy de Maupassant à Bezons

Bezons Infos n°329 – juin 2012

 

 

Centre de loisirs Jacques-Tati à Bezons

Bezons Infos n°321 – octobre 2011

 

 

Centre de loisirs Jacques-Tati à Bezons

2008-2011-Bezons-Paroles tenues – septembre 2011

 

 

Centre de loisirs Jacques-Tati à Bezons

Le Parisien – 29 septembre 2011

www.leparisien.fr

 

 

Centre de loisirs [CLM Les Chênes] Jacques-Tati à Bezons

Bezons Infos n°302 – janvier 2010

 

 

Gymnase Jean Moulin à Bezons

2008-2011-Bezons-Paroles tenues – septembre 2011

 

 

Médiathèque Léo Ferré à Marcoussis

2010 Bibliothèques-Médiathèques – Dix ans de construction en Ile de France

Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Ile de France – novembre 2010

www.ile-de-france.culture.gouv.fr

 

 

Restaurant scolaire Romain Rolland aux Lilas

CAUE 93 – conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement de Seine-Saint-Denis

http://www.caue-observatoire.fr

 

 

Ecole Roselyne Boivin à Pierrefitte-sur-Seine

CAUE 93 – conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement de Seine-Saint-Denis

http://www.caue-observatoire.fr

 

 

La Ruche à Paris XVe

d’a (d’architectures) – article de Frédéric Mialet – 1996 (?)

_

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ecole Albert Calmette au Blanc-Mesnil

Cœur d’Actu – Blanc-Mesnil/Le Journal n°173 – 7 septembre 2012 – par Delphine Loussert

 

ecole

Une nouvelle école pour la rentrée.

 

Au Blanc-Mesnil, les écoles bénéficient, à chaque rentrée scolaire, d’améliorations de leurs locaux. Cette année, la nouvelle élémentaire Calmette, très moderne, a ouvert ses portes.

 

 

« Il fallait relever ce défi », se félicite David Vadillo, premier adjoint au maire délégué aux travaux, lors de la traditionnelle visite de pré-rentrée.

Jusqu’aux derniers jours, tandis que les équipes éducatives prenaient peu à peu possession des lieux, ouvriers et personnels d’entretien se sont affairés afin que tout soit prêt pour le retour des jeunes écoliers. Pas une mince affaire au regard des seulement six petits mois qu’il aura fallu pour que sorte de terre la nouvelle école élémentaire Calmette.

 

« Je tiens à féliciter toutes les équipes et tous les partenaires qui ont travaillé à la concrétisation de ce projet en si peu de temps et sous contraintes budgétaires »

 

A déclaré Alain Barrès, adjoint au maire chargé de l’enseignement primaire.

 

Et il a fière allure ce bâtiment qui trône désormais entre la résidence du Sous-Coudray et le collège Cotton, à quelques mètres seulement de l’ancienne école. Sa structure et sa façade parée d’immenses verrières respirent la modernité. Un sentiment qui se confirme à l’intérieur où les nombreux puits de lumière et les mezzanines renforcent le style contemporain du bâtiment.

 

Le rouge et le gris métallisé côtoyant des couleurs plus chaudes finissent d’agrémenter les lieux qui raviront sans nul doute petits et grands.

 

 

« Parents, élèves, équipe enseignante…

Tous étaient très impatients de découvrir les locaux, assure Melle Saine, directrice de l’élémentaire.

La nouvelle école était au centre de notre projet pédagogique l’année dernière, alors nous en avons beaucoup parlé.

Le bâtiment est très fonctionnel, mais surtout bien mieux adapté à des élèves, du CP au CM, que nos anciens locaux. »

 

 

Avec ses 1439 mètres carrés sur deux étages, l’école a été conçue de façon à pouvoir évoluer au fil des besoins et anticiper la croissance de la démographie dans les prochaines années. Dès cette rentrée, les enfants scolarisés en CP, et ceux des nouveaux habitants de certaines rues du quartier, rejoindront désormais Calmette plutôt que Ferry. En conséquence, deux classes supplémentaires on été crées portant leur nombre total à sept. Soit un effectif d’environ 160 élèves. A terme, l’école pourra accueillir jusqu’à 300 écoliers.

 

Equipés pour faciliter l’utilisation des nouvelles technologies dans toutes les classes, les locaux font également la part belle aux activités du Réseau d’aides spécialisées aux élèves en difficulté (RASED). « C’est une réelle volonté de notre ville que de donner les outils qui permettent de lutter contre l’échec scolaire », a souligné le maire Didier Mignot en découvrant les trois salles qui accueilleront le RASED.

 

« Le gain d’espace nous offre également la possibilité d’avoir une vraie bibliothèque, s’enthousiasme Melle Saine, car jusqu’ici nous n’avions pu qu’aménager un coin de notre préau. »

 

Parmi les nouveaux équipements l’école comportera en outre un cabinet médical commun au groupe scolaire Calmette-Anne Frank, et des locaux pour les personnels d’entretien afin que tous puissent travailler dans les meilleures conditions. Une page se tourne avec l’ouverture de cette école placée sous le signe de la modernité. A tous de élèves d’écrire une nouvelle histoire au fil de leurs cahiers d’écoliers.

 

 

 

 

 

 

 

Centre de loisirs Jacques-Tati à Bezons

Bezons Infos n°321 – octobre 2011 – par Aline Angosto

 

jacquestati

« Jours de fête » au centre de loisirs Jacques-Tati

 

Le samedi 24 septembre, le nouveau centre de loisirs maternel jacques-Tati était inauguré.

Plus moderne, écologique et économique, le CLM a accueilli les 65 enfants de l’ancien CLM. « L’eau Vive » dès le lundi suivant.

 

Des branches d’arbres sur les fenêtres, la silhouette du célèbre cinéaste à l’entrée, les enfants, parents, élus et riverains étaient tous émerveillés par le nouveau CLM lors de son inauguration samedi 24 septembre. Mais toutes les avancées ne sont pas forcément visibles : « Cet équipement fait ma part belle au développement durable avec son puits canadien, ses 35 m2 de panneaux solaires qui apportent près de 80% de ses besoins énergétiques », explique le maire dans son discours d’inauguration.

 

Tati, ami des enfants

 

Le maire n’a p as manqué de souligner le « parti pris architectural extrêmement séduisant d’une très grande fonctionnalité » pensé par l’architecte Christophe Camfrancq. Aujourd’hui baptisé Jacques-Tati, le CLM porte ainsi une grande symbolique.

 

« Nous avons souhaité rendre hommage à cette figure emblématique du cinéma français, qui a consacré, dans ses premières œuvres,
une part non négligeable à la représentation de l’enfance. »

 

Après une visite des locaux, chacun a pu admirer l’exposition sur le personnage.

Le livre de l’exposition a été offert aux familles dont les enfants sont inscrits dans le centre. Un cadeau très apprécié qui amorce un travail sur les prochains mois avec tous les enfants du CLM et l’équipe de la médiathèque.

 

 

 

 

 

 

 

 

La Ruche à Paris XVe

D’A (d’architectures) – article de Frédéric Mialet – 1996 (?)

 

 

RUCHE_D1_2ATELIERS_1

PARIS XVe La Ruche change d’échelle

 

Deux nouveaux ateliers d’artistes dans un hameau parisien consacré à la vie des arts.

 

Création ou réhabilitation ? Avec ses tournures de villa puriste en fond d’impasse, l’édifice a un air familier.
Tour de force d’un dossier assez sensible pour avoir causé à ses protagonistes un procès de cinq ans.

Car il n’allait pas de soi pour certains voisins de voir un bâtiment se construire en place du vieux mur et de l’escalier du jardin de la Ruche, surélevé de 3m par rapport à la chaussée.

«Ce mur en mauvais état exigeait des travaux de terrassement importants, explique Francis Biras, secrétaire général de la Fondation qui gère la célèbre cité d’artistes. Nous avons préféré bâtir deux ateliers – l’un pour un sculpteur, de plain-pied sur la voie, et l’autre pour un peintre, au dessus-, sachant que nous aurions l’aide de la Ville et du ministère des affaires culturelles qui pouvaient financer une bonne moitié de l’opération

 

Cette volonté de rentabiliser une dent creuse s’explique dans le plus important « hameau » parisien consacré à la vie des arts. Depuis 1970, son emprise a été divisée par deux pour ne plus compter que 3200 m2, dont la moitié d’espaces verts. Ce qui n’a pas nui au caractère convivial d’une enclave où s’expriment au quotidien 56 artistes.

 

Le projet a été confié à un tandem de jeunes architectes qui, s’ils n’avaient encore jamais construit, avaient déjà aménagé deux ateliers de la Ruche ; notamment pour y créer un studio de musique. «Donner ainsi carte blanche à des jeunes nous paraissait une question de principe, assure Francis Biras. Comme d’ailleurs le parti pris de limiter l’emprise des pièces de service dans un programme qui doit demeurer centré sur le travail artistique.»

Christophe Camfrancq et Guido Fanti ont dû travailler avec l’accord de l’ABF qui leur a laissé le champ libre, exigeant simplement d’appliquer sur l’enduit extérieur une peinture « au silicate». L’orientation nord-ouest de la façade sur rue appelait une grande baie, vitrine des activités intérieures.

 

«D’un bloc, elle est en retrait par rapport à un mur aveugle qui, à l’instar d’un portail géant, semble la laisser apparaître en coulissant, explique Guido Fanti. Quant à la bande servante des ateliers, elle s’inscrit à l’emplacement de l’ancien escalier. Sur l’impasse, nous l’avons marquée par un rerait et un bardage de pin afin de conserver l’idée de passage.»

 

Mémoire du lieu, la façade est un triptyque opposant trois matériaux avec d’habiles jeux d’articulation. «C’est un travail sur le retournement d’échelle, rajoute Christophe Camfrancq, il vise à mettre en résonnance le fond de l’impasse à partir de toutes ses composantes.» Même démarche pour le versant sur jardin d’une ligne plus domestique du fait de l’importance donnée à une terrasse et un auvent vitré, référence aux coursives et aux verrières des ateliers voisins. Et dans ce cul-de-sac d’une grande qualité d’usage, on retrouve le même souci du détail : dans une étroite cour anglaise, les vitrages sont collés bord à bord dans un angle pour optimiser l’éclairage de l’atelier inférieur comme, plus haut, l’implantation au nu extérieur des huisseries et la discrétion d’une fente conçue pour passer de grands tableaux.

 

Deux ateliers d’artiste, 9 rue Montauban dans la cité La Ruche ; 2 passage Dantzig, à Paris, XVe, par Christophe Camfrancq et Guido Fanti, architectes. Maîtrise d’ouvrage : Fondation La Ruche-Seydoux, Ville de Paris, ministère des affaires culturelles. Surface hon: 185 m2. Coût: 1.4 MF HT honoraires compris.